Voilà une réflexion de long court, non viciée par un regard « blanc », sur l’histoire du peuple algérien. Côtoyant les grandes civilisations ( Carthage, Rome … ), prenant part entière à leur expansion et à leurs luttes, les marquant par ses célébrités ( Syphax, Massinissa et autres saint-Augustin ), il en subit les contre-coups, mais retrouve à chaque fois une nouvelle vigueur. D’abord, avec la longue marche de l’Emir Abdelkader, puis le mouvement national, qui fit avorter l’etat colonial – appareil, avant d’ouvrir de plus en plus de possibilités d’interventions dans l’Etat colonial-champ politique, tels que les a définis Pierre Bourdieu.
N’est-il d’histoire que blanche ? – Abdel’alim Medjaoui
850,00 د.ج
Voilà une réflexion de long court, non viciée par un regard « blanc », sur l’histoire du peuple algérien. Côtoyant les grandes civilisations ( Carthage, Rome … ), prenant part entière à leur expansion et à leurs luttes, les marquant par ses célébrités ( Syphax, Massinissa et autres saint-Augustin ), il en subit les contre-coups, mais retrouve à chaque fois une nouvelle vigueur. D’abord, avec la longue marche de l’Emir Abdelkader, puis le mouvement national, qui fit avorter l’etat colonial – appareil, avant d’ouvrir de plus en plus de possibilités d’interventions dans l’Etat colonial-champ politique, tels que les a définis Pierre Bourdieu.
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Catégorie : Essai
Étiquette : Casbah editions
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Professeur de médecine, ancien chef de service de Centre hospitalier universitaire (Maternité Mustapha d’Alger), Belgacem Aït Ouyahia signe, avec Le prisonnier de Tullianum son sixième ouvrage chez Casbah-Editions, où il a publié, entre autres, Pierres et lumières, Les blés d’or du Chélif et L’Afrasienne , outre une excellente traduction-adaptation en langue tamazight des fables de La Fontaine Tala n tmedwin et une pièce de théâtre en vers : L’allée du sang (Casbah-Editions 2004).
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