La maladie d’Alzheimer est une maladie de la communication. L’altération progressive du fonctionnement cognitif va rendre de plus en plus difficile la relation à l’autre, modifiant le rapport du sujet au monde. Le langage, vecteur principal et privilégié d’échange avec autrui, est en effet altéré dés le début pour devenir inopérant en fin d’évolution. Toutefois, l’appauvrissement relationnel induit par les troubles du langage ne doit pas nous conduire à considérer le patient comme incapable de communiquer. Même si les traitements médicaux ont progressé,il n’y a pas encore de traitement curatif à proposer aux malades. La prise en charge non médicamenteuse reste alors essentielle et s’enrichit de techniques toujours plus performantes.Au sommaire:La maladie d’Alzheimer: actualités thérapeutiques; Humour et maladie d’Alzheimer: un oxymore?; Rééducation neuropsychologique et aphasie primaire progressive: la situation «privilégiée» de la démence sémantique; Maladie d’Alzheimer et langage: un nouvel éclairage; Quand le patient voit les mots s’échapper ; Apport des nouvelles technologies pour l’évaluation et la prise en charge de la Maladie d’Alzheimer; Pathologies neurodégénératives et traitement des émotions: du biomarqueur diagnostique à la prise en charge; La méthodologie de soin Gineste-Marescotti® dite «humanitude»; Des ateliers mémoire à la stimulation cognitiveinformatisée; La Robotique d’interaction, de relation et de stimulation au service de la personne fragile et/ou atteinte de troubles cognitifs; L’action de France Alzheimer dans le soutien aux familles.
Maladie d’Alzheimer et communication
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La maladie d’Alzheimer est une maladie de la communication. L’altération progressive du fonctionnement cognitif va rendre de plus en plus difficile la relation à l’autre, modifiant le rapport du sujet au monde. Le langage, vecteur principal et privilégié d’échange avec autrui, est en effet altéré dés le début pour devenir inopérant en fin d’évolution. Toutefois, l’appauvrissement relationnel induit par les troubles du langage ne doit pas nous conduire à considérer le patient comme incapable de communiquer. Même si les traitements médicaux ont progressé,il n’y a pas encore de traitement curatif à proposer aux malades. La prise en charge non médicamenteuse reste alors essentielle et s’enrichit de techniques toujours plus performantes.Au sommaire:La maladie d’Alzheimer: actualités thérapeutiques; Humour et maladie d’Alzheimer: un oxymore?; Rééducation neuropsychologique et aphasie primaire progressive: la situation «privilégiée» de la démence sémantique; Maladie d’Alzheimer et langage: un nouvel éclairage; Quand le patient voit les mots s’échapper ; Apport des nouvelles technologies pour l’évaluation et la prise en charge de la Maladie d’Alzheimer; Pathologies neurodégénératives et traitement des émotions: du biomarqueur diagnostique à la prise en charge; La méthodologie de soin Gineste-Marescotti® dite «humanitude»; Des ateliers mémoire à la stimulation cognitiveinformatisée; La Robotique d’interaction, de relation et de stimulation au service de la personne fragile et/ou atteinte de troubles cognitifs; L’action de France Alzheimer dans le soutien aux familles.
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