Beaucoup de gens se lassent, se découragent et finissent par nier l’existence de Dieu. On se sent trahit, pas entendu, délaissé, perdu. On commence alors à dénigrer, à critiquer, et finalement se moquer de ceux qui ont la foi. Se prétendant que ces derniers n’ont pas une assez profonde vision de la vie pour découvrir et gouter sa noirceur. La foi d’hier devient la frustration d’aujourd’hui, et l’indifférence de demain.
C’est la même démarche du phénomène amoureux. Ça commence par l’émerveillement, puis on essaie d’entretenir cet amour en faisant des efforts. Et lorsque cet amour nous éprouve, au lieu de patienter, on se révolte, puis on se décourage et enfin on nie l’existence de l’amour. On se sent trahit, pas entendu, délaissé injustement par l’autre. On commence alors à dénigrer et critiquer, et finalement se moquer de ceux qui ont l’amour, se prétendant qu’ils sont naïfs. L’amour d’hier devient la haine d’aujourd’hui et l’indifférence de demain.
Ce raisonnement prouve que la foi et l’amour ne font qu’un. Et que Dieu se cache dans le cœur des amoureux. La foi comme l’amour a besoin de pureté pour s’installer, on ne peut pas gouter au fruit de la foi sans être bon, et propre à l’intérieur. La foi n’habite pas les cœurs sombres.
Poète, philosophe, mathématicien et astronome, Omar Kheyyam est un personnage phare qui a illsutré le début du XI ième siècle. Son histoire, entourée de mystères, inspire jusqu’à nos jours artistes et écrivains tandis que ses quatarins sèment, depuis toujours, controverses et admiration.