غجرية – Nacéra Mohamedi
200,00 د.ج
978-9961-769-36-2
5
Items sold in last 3 days
Félicitation ! vous bénéficiez d'une livraison gratuite !
0
People watching this product now!
Estimated delivery dates: avril 6, 2025 – avril 13, 2025
Catégorie : Poésie
Description
978-9961-769-36-2
Informations complémentaires
Editeur |
---|
Produits similaires
Etats de chose et autres choses – Habib Tengour
700,00 د.ج
Etats de choses, ces textes témoignent des années de sang. En sommes-nous vraiment sortis ? Beaucoup ont marché pendant deux ans dans l’espoir de dégager une sortie. Peut-être aura-t-on à remonter loin dans notre histoire pour comprendre ce qui nous arrive. Surtout changer l’itinéraire. On parle d’écriture de l’urgence. Qu’est-ce à dire ? Toute écriture n’est-elle pas nécessité par une urgence à laquelle tout écrivain est sommé de répondre ? Par-delà la conjoncture, il y a là, pour le poète, la difficulté à trouver ses mots — où les chercher ?
...
Cette chose persiste, entre autres choses, elle échappe à l’emprise des mots. Tu travailles à les trouver…
Dans mon cœur il n’y a plus d’heure – Youcef Merahi
700,00 د.ج
« La poésie est le lieu des affinités ; c’est à partir de celle-ci que les poètes se regroupent en cénacles et c’est particulièrement vrai en Algérie où la solitude est si cruellement ressentie que la vie serait impossible sans l’amitié compensatoire. Pour les vivants certes mais aussi pour les morts impérissables. Derrière (mais vaut mieux dire au côté de) Youcef Merahi, il y a la toujours rayonnante présence de Hamid Nacer-Khodja, de même que derrière celui-ci, il y avait l’irremplaçable Sénac ou figure du poète assassiné, que les vils assassins n’ont pourtant pas réussi à tuer. Localisé autant qu’on peut l’être à partir de son lieu natal, Tizi-Ouzou, Youcef Merahi est aussi disséminé dans le vaste monde de ses souvenirs ou de ses désirs et de ses rêves, délocalisé vers des lieux où l’heure est chaque fois différente ; c’est pourquoi on peut dire qu’il n’y en a plus. L’immanence poétique n’a que faire des horloges, pour autant le poète n’échappe pas au temps, celui de l’âge qu’il ressent en grandissant au-dedans de lui. » (Denise Brahimi).
L’Ombre portée – Marie étienne
500,00 د.ج
Après avoir vécu longtemps à l’étranger, Marie Etienne a travaillé avec Antoine Vitez puis Maurice Nadeau. Parmi la trentaine de livres qu’elle a publiés, choisissons quelques titres : Le Livre des recels (Flammarion), L’Inaccessible est toujours bleu (Hermann), Antoine Vitez et la poésie (le Castor astral). Elle a reçu le prix Paul Verlaine de L’Académie française et le prix Mallarmé.
Est-ce Nina qui parle, l’héroïne, dans La Mouette, de Tchekhov ?
Ou son inspiratrice, Lydia Mizinova, qui assiste à Moscou à la naissance d’un art nouveau, avec Stanislavski ? Ou une spectatrice, à qui la représentation et le drame de Nina rappelle sa propre histoire ? Il est sûr que le texte, une sorte de journal, est hanté par Tchekhov, ses yeux clairs, son humour et sa mort annoncée. Et il est sûr aussi que l’auteur du journal parvient à se sauver par le moyen de l’art.
Maintenant, j’enjambe le petit ruisseau – الآن سأقفز الجدول الصغير – Ashur Etwebi
700,00 د.ج
Ashur Etwebi est poète, traducteur et médecin libyen. Il a publié plusieurs recueils de poésie et a entre autres traduit les œuvres de Jalâl Eddîne al-Rûmî, de Kabîr et des plus grands maîtres de Haïkus japonais.
Si je tendais la main, j’attraperais une comète tombée derrière une montagne
Si je dessinais une ligne droite entre mes lèvres et la bordure du puits, une rivière de vin coulerait
Si je devançais mon pas vers moi-même, j’arriverais avec l’oiseau étrange au seuil de la porte
Si j’emportais à la forêt la mélodie que j’entends chaque nuit, la saison des truffes serait abondante
Si je collais sur le mur de ma chambre les battements de mon cœur, des soleils brilleraient dans la steppe
Si le silence avait un midi, les ombres s’enfuiraient à travers des brèches dans le ciel
Les figues s’ouvrent – Lasse Söderberg
500,00 د.ج
Lasse Söderberg, né le 4 septembre 1931 à Stockholm, est un poète et critique suédois fortement influencé par le surréalisme. Il est aussi traducteur, notamment des poètes français et latino-américains.
Il a été rédacteur en chef de la revue littéraire Tärningskastet dans les années 1976-1988. Dans les années 1987–2006, il fut l'initiateur des Journées internationales de la poésie à Malmö.
Lunaire
Au fond de ce miroir comme une orbite vide où il n’y a que de la nuit, où les limaces laissent leur traînée de bave étincelante, semblable à des larmes mortes, je vois un JE lentement se dissoudre et disparaître. Il n’en reste qu’une boucle dans le vide. Vainement j’essaye de déchiffrer ce mot dont je suis la lettre initiale.