مذكرات قنانش
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DAR EL OTHMANIA
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Catégorie : Histoire
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Si Salah, mystère et vérités – Rabah Zamoum
310,00 د.ج
Membre de l'Organisation Secrète, Mohamed ZAMOUM dit Si Salah a participé au tirage de la proclamation du 1e Novembre, en son village Ighil Imoula.
Il effectue, pour le compte de la wilaya IV, une mission au Maroc et en Tunisie. Navré et écœuré, il revient à l'intérieur, refusant les postes de l’extérieur.
Devant l'abandon des maquis, Si Salah et ses deux adjoints rencontrent le président de Gaulle le 10 juin 1960 pour discuter du contenu de l'autodétermination. Le 20 juin 1960, le Gpra décide, alors, d'envoyer une délégation pour engager les négociations. Ayant accéléré le processus d'indépendance, Si Salah ne survivra pas au cessez-le-feu, tombé dans une embuscade le 21 juillet 1961 à M'chedellah (Maillot-Bouira).
Ali Kafi – Du militant politique au dirigeant militaire -Mémoires : 1946-1962 – Ali Kafi
860,00 د.ج
Ali Kafi est né le 17 octobre 1928 dans une ferme, à M’Souna, près d’El Harrouch (dans l’actuelle wilaya de Skikda).Après avoir appris le Coran auprès de son père, à M’Souna, Ali Kafi rejoint, en 1946, l’institut El Kettania de Constantine. Militant du Ppa, il anime une cellule de ce parti au sein de l’Institut. Son cycle d’étude terminé avec succès, il rejoint l’université de la Zitouna à Tunis, en 1950. Il y déploiera ses activités militantes au sein du milieu étudiant ainsi qu’en relation avec la résistance tunisienne, ce qui lui vaudra son expulsion de Tunisie en 1952.
De retour à Skikda, il doit purger une peine de six mois de prison consécutive à une condamnation pour activités nationalistes datant de 1950. À sa libération, il devient enseignant dans une école libre d’obédience Mtld, « El Moustakbal », à Skikda.
Il rejoint l’Aln au début de 1955. Il activera sous les ordres de Zighoud Youcef, successeur de Didouche à la tête de la wilaya II et il sera parmi les organisateurs de l’offensive du 20 Août 1955 dans le Nord Constantinois. Ali Kafi fera partie de la délégation de la wilaya II au Congrès de la Soummam, aux côtés de Zighoud, Bentobbal, Benaouda, Mezhoudi et Hocine Rouibah. Au printemps 1956, il est responsable militaire de la wilaya et, en avril 1956, devient colonel, commandant la wilaya II.
Les femmes algériennes pendant la colonisation – Diane Sambron
850,00 د.ج
Les femmes musulmanes furent les héroïnes de la guerre de libération. À ce titre, elles gagnèrent toute la reconnaissance et le respect de la patrie naissante en 1962. La Constitution algérienne reconnut, qu'en raison de leur participation à la guerre, « les femmes algériennes ont acquis tous leurs droits ».
Au-delà de l'aspect militant, cet ouvrage retrace, sur la base de l'analyse des archives françaises, l'évolution de la condition des femmes en Algérie, depuis la fin du XIXe siècle jusqu'aux années post-indépendance. Cet exercice inédit entend permettre aux femmes musulmanes d'Algérie et à celles issues de l'immigration algérienne, de se réapproprier une mémoire, celle de l'évolution de leurs droits et de leur condition. Il permet en outre de témoigner des évolutions du système colonial français.
Diane Sambron est docteur en Histoire, spécialiste du Maghreb et du droit des femmes.
De la résistance à la guerre d’indépendance – Mohamed Chérif Ould Hocine
850,00 د.ج
« Après avoir apporté dans un premier livre Au coeur du combat un témoignage poignant sur les actions de deux unités d’élite de l'Aln en wilaya IV, l'auteur à consacré un second ouvrage Éléments pour la mémoire - Afin que nul n'oublie à une galerie de portraits de très nombreux chouhada, moudjahidine et moudjahidate de toutes les wilayates historiques.
Dans ce troisième livre, M. Ould Hocine a tenu à élargir encore davantage la perspective de ses investigations et recensions. Remontant jusqu'à la première agression colonialiste française du 14 Juin 1830, l'auteur passe en revue l'ensemble des actes majeurs de résistance posés par les Algériens avant que la résistance ne cède le pas à la guerre pour la libération nationale. »
Ils ont défié l’Empire – Juba 1er, Tacfarinas, Firmus et Gildon – Ouarda Himeur -Ensighaoui
460,00 د.ج
« Nous avons fait nôtre le projet de Mohammed-Chérif Sahli qui consiste à décoloniser l'Histoire.
Notre but n’est pas de faire de Juba 1e, de Tacfarinas, de Firmus et de Gildon des idoles scintillantes. Il est tout simplement de les rendre à la lumière et de leur restituer leur véritable stature politique et leur aura de résistants à la dépossession et à l'occupation romaines. »