Méditer pour se perdre, écrire pour revenir

Dans cette nuit d’été qui respire un doux calme céleste, et sous une toile scintillante qui enveloppe tendrement tout les regards SDF. Errant sans cesse, venant de quelque part et allant à nulle part. Leur seul point commun; une question dont la réponse ne réside pas sur cette terre, et existerait peut être auprès des limites de cet horizon sans fin.

En écrivant ces phrases, je me demendai subitement quelle était ma question à moi ? Que cherchai-je dans ce cosmos ?… J’en conclus que, dans une réflexion pareille, on ne guette pas seulement des réponses mais aussi, leur origines. J’était en quête de mes propres questions ! J’ai compris que méditer est synonyme de se perdre dans un vide plein de mystères qui n’attendent pas nécessairement d’être résolu mais, juste cernés et décrits.

Il y’a des moments où la vie nous pousse à penser, à écrire pour que par la suite, elle prendra place entre les lignes de nos textes, et se fait contempler en toute splendeur par celui qui est parvenu à lui donner une autre forme d’existence dans cet univers infini.

Wassim Mansouri