Conversations méditerranéennes – Ali Ghanem

1.300,00 د.ج
Quel plus beau foyer pour des conversations que la Méditerranée, si justement nommée mer du milieu. Tout autour, des terres et des rivages, des peuples et des paysages, des écrivaines et des écrivains, des journalistes, un acteur et une femme cinéaste, des hommes politiques. Toutes ces voix bruissent à nos oreilles. Ecoutez-les. Elles nous parlent de nous, de ce que nous sommes et rêverions d’être.

La génération du Môle d’Alger – Lydia Haddag

1.100,00 د.ج
Dans ce livre, il y a le quartier de la Marine avec son Amirauté et sa jetée Kheir Eddine, sa pléiade de peintres, d’écrivains et de poètes, ses baigneurs et ses militants politiques. Il y a Sauveur Galliéro, Jean Sénac, Himoud Brahimi, M’hamed Issiakhem, Choukri Mesli, Mohamed Dib et Mustapha Kateb. Ensemble, ils ont constitué la génération du Môle d’Alger. Entre révolution artistique et art révolutionnaire, cet essai richement documenté met en lumière un groupe méconnu qui, à la manière d’une « Internationale des peuples de la mer » a marqué les mondes de l’art algérois du XXème siècle.

Femmes de lutte et d’écriture – Mildred Mortimer

950,00 د.ج
Malgré leur participation active à la lutte anticoloniale, la contribution des Algériennes à l’effort de guerre n’a jamais été pleinement reconnue. Mildred Mortimer tente de réparer cette amnésie, en étudiant l’œuvre d’écrivaines racontant leur expérience de la guerre dans des  autobiographies ou des fictions. A l’écoute de Djamila Amrane-Minne, Assia Djebar, Yamina Mechakra, Maïssa Bey, Leïla Sebbar, Zohra Drif, Louisette Ighilahriz, Evelyne Safir Lavalette, l’essayiste américaine rompt le silence et délivre un message d’espoir : l’écriture est un combat qu’il faut poursuivre.

M’hamed Issiakhem Ma main au feu… Portrait à l’encre – Benamar Médiene

1.500,00 د.ج
Ma main au feu, c’est ce qu’on dit quand on ne ment pas. L’éblouissant midi algérien n’aura pas lieu. Toute la vérité et rien que la vérité dans ce portrait à l’encre, plume de l’écrivain et pinceau du peintre confondus dans l’intensité du ressenti d’une Algérie d’avant. Sans nostalgie. Le lecteur, le cœur en feu, ne coupera pas à l’enfer vécu par M’hamed Issiakhem, ni à la beauté de son œuvre. Pas plus qu’à l’écriture de Benamar Médiène, étourdissante de maitrise et d’émotion jusqu’au vertige.

L’équation du développement – Noureddine Bardad-Daïdj

850,00 د.ج
Partie intégrante de la problématique du développement, le thème de l’ajustement structurel se trouve au coeur de l’une des plus formidables polémiques qu’aura connues l’histoire contemporaine. Rarement une question aura été autant utilisée, exploitée, instrumentalisée et galvaudée comme l’aura été celle de l’ajustement structurel des économies du monde en développement. Il est surtout en plein centre de la relation équivoque qui s’est développée au l du temps entre la communauté des pays en développement et le système de Bretton Woods avec, à sa tête, ses deux gures de proue : le FMI et la Banque mondiale. En lien direct avec les politiques gouvernementales, il continue de faire, aujourd’hui encore, près de vingt ans après la mise en oeuvre des premiers programmes, l’objet de surenchères et de non-dits qui, au delà de la justesse ou de la faiblesse de leur pertinence, ne favorisent ni sa position, ni les situations auxquelles il est censé remédier. S’il tente de débrouiller l’écheveau du débat contradictoire en cours, le travail proposé ici a été mené aussi pour permettre au lecteur d’avoir à sa disposition les principales clés d’entrée à la problématique posée. On y trouvera tout un historique destiné à faire comprendre comment on est arrivé à pareille situation, ainsi qu’une revue en détail des principaux mécanismes qui sous-tendent ce qui s’est transformée en une véritable maldonne dans les vieux rapports entre le Nord et le Sud.

économie de la connaissance et le développement agricole et rural – L’expérience Algérienne – Abdelkader Djeflat

950,00 د.ج
Economie de la connaissance et Développement agricole et rural est le fruit d’une rencontre, inédite, entre un universitaire, Abdelkader Djeflat, et un haut fonctionnaire au long cours dans le secteur de l’agriculture, Rachid Benaissa. Conscients des mutations multiformes qui s’opèrent à grande vitesse dans toutes les branches de l’économie, les deux auteurs ont joint leur savoir scientifique et leur expérience professionnelle pour produire cet ouvrage didactique, qui pourrait avantageusement inspirer les opérateurs d’un secteur agricole en développement.

Azeffoun – Son histoire et ses célébrités – – Nordine Grim

850,00 د.ج
Dans cet ouvrage consacré aux nombreuses célébrités culturelles et artistiques originaires d’Azeffoun (ex Port Gueydon), Nordine Grim tente d’expliquer le pourquoi de cette particularité propre à la région, en interrogeant son Histoire tumultueuse et le vécu d’une soixantaine de personnalités marquantes, dont il a dressé les portraits biographiques. Ces célébrités ont pour particularité d’avoir percé, tout au long de ces deux derniers siècles, dans des domaines aussi variés que l’art, la culture et les sports, aussi bien, en Algérie, qu’à l’étranger.

ALGÉRIE, Les voies de la re-naissance – Lachemi Siagh

850,00 د.ج
L’Algérie au cours de son histoire a résisté aux Romains, aux Vandales, aux Espagnols, aux Français et à tant d’autres avant eux, mais elle a failli être mise à genou de l’intérieur, par une frange de ses propres enfants. Depuis son indépendance, l’Etatisme outrancier, la centralisation, le patriotisme démagogique, le pillage, la corruption, le népotisme, le régionalisme, la hogra, l’incompétence, le manque de vision et de stratégie, en un mot, la non gestion des affaires, ont peu à peu plongé le pays dans l’obscurantisme médiéval, la régression culturelle et sociale, économique et sanitaire, mais également la perte des valeurs traditionnelles qui avaient permis de combattre le colonialisme.  Cet ouvrage analyse sans concession la gestion calamiteuse du pays depuis l’indépendance, surtout depuis les dix dernières années. Il offre des pistes pour un re-enginering, une vision d’une Algérie moderne et prospère, à même de rejoindre le concert des pays émergents d’ici 2030.

Le second front, écrits et documents de La Fédération de France du FLN 1954-1962 – Ali Haroun

1.500,00 د.ج
Le recueil de ces « Ecrits et Documents », enrichi par une importante iconographie et d’abondantes annexes, se veut l’expression de l’énorme sacrifice de l’immigration algérienne en Europe, sans oublier celui des « Réseaux de Soutien », dont l’action pour la défense des droits de l’Homme s’est traduite par leur total engagement au sein de la Révolution algérienne.

DEVENIR DES VICTIMES ET PRISE EN CHARGE DES TRAUMATISMES – Fatima Moussa Babaci

900,00 د.ج
Les violences, quelle que soit leur nature, drainent toujours avec elles leur lot de souffrances, générant des traumatismes psychiques et somatiques, dont les conséquences à long terme marquent les subjectivités et engagent le devenir des sujets qui y ont été confrontés. La souffrance a cette particularité d’être intersubjective : perte des relations, terreur, rupture des liens. Elle menace la santé mentale et la cohésion à l’intérieur de la famille, et  il est parfois illusoire de circonscrire le trauma et sa prise en charge à des individualités. Le groupe, la société sont marqués par cette violence qui souvent induit la fracture sociale. Dans cet ouvrage qui regroupe des contributions d’Algérie et de différentes parties du monde, nous interrogeons l’expérience des professionnels, dans les domaines de la recherche ou de la pratique, en lien avec les actions entreprises aux plans institutionnel et associatif, pour une reconstruction du lien social. La question du devenir des victimes n’a pas souvent fait l’objet de publications. Pour l’étudiant, le chercheur, le professionnel et le public, cet ouvrage vient combler un vide. Il apporte des éléments théoriques et pratiques dans le domaine de la prise en charge du traumatisme, des savoirs faire et des expériences où le culturel lève le voile sur des aspects obscurs du devenir. Ont participé à cet ouvrage:  Achour Aït Mohand, Nassima Ali Toudert-Slimani, Anas Bahmed, Nadia Beddad, Ourida Belkacem, Sidclay Bezerra de Souza, Mahmoud Boudarène, Ouarda Bougaci, Fadhila Boumendjel Chitour, Nadia Braoui, Mohamed Chakali, Elaine Magalhães Costa- Fernandez Boris Cyrulnik, Liliane Daligand, Sabrina Gahar, Dalila Iamarene Djerbal, Farid Kacha, Nourreddine Khaled, Mostéfa Khiati, Odette Lescarret, Zina Mouheb, Fatima Moussa-Babaci, Nassima- Nassiba Ouandelous, Eugène Rutembesa, Dalila Samai-Haddadi, Dan Schurmans, Lamia Tadala, Op Vanna, Michèle Vatz-Laaroussi, Souhila Zemirline, Dalila Zouad.

Au commencement est le paysage – Sabiha Benmansour

900,00 د.ج
Résolument moderne et inscrite dans une démarche universaliste, l’œuvre de Mohammed Dib est aussi fortement ancrée dans le contexte culturel qui l’a vue naitre. Ville natale de l’écrivain et son « premier lieu d’écriture », la vieille cité au riche passé fut pour sa sensibilité le lieu de la découverte du monde, sa première grille de lecture de ce même monde et la base des élaborations littéraires ultérieures... Tlemcen... « Cet endroit. La source. Il faut y arriver. La fontaine vers laquelle on doit remonter. Vers quoi nous sommes déjà en route. »   Mohammed Dib (extrait de  Le désert sans détour )

N’est-il d’histoire que blanche ? – Abdel’alim Medjaoui

850,00 د.ج
Voilà une réflexion de long court, non viciée  par un regard « blanc », sur l’histoire du peuple algérien. Côtoyant les grandes civilisations ( Carthage, Rome ... ), prenant part entière à leur expansion et à leurs luttes, les marquant par ses célébrités ( Syphax, Massinissa et autres saint-Augustin ), il en subit les contre-coups, mais retrouve à chaque fois une nouvelle vigueur. D’abord, avec la longue marche de l’Emir Abdelkader, puis le mouvement national, qui fit avorter l’etat colonial - appareil,  avant d’ouvrir de plus en plus de possibilités d’interventions dans l’Etat colonial-champ politique, tels que les a définis Pierre Bourdieu.