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Crime d’honneur
Jeune immigrée kurde, Esma porte une histoire familiale entachée de sang. Décidée à comprendre, elle retrace sur trois générations le lourd destin qui la lie à ses ancêtres : des rives de l'Euphrate à l'Angleterre, quand l'émancipation et la quête de liberté se heurtent aux traditions, Esma démêle lentement les fils de l'amour et de la haine..." Un magnifique bijou, un livre somptueux. " The TimesTraduit de l'anglais (Turquie) par Dominique Letellier
Hamnet
Inspiré de la courte vie d'Hamnet, le fils oublié de William Shakespeare, ce roman est une bouleversante méditation sur la famille, l'amour et le deuil.Un jour d'été 1596, dans la campagne anglaise, une petite fille tombe gravement malade. Son frère jumeau, Hamnet, part chercher de l'aide car aucun de leurs parents n'est à la maison...Agnes, leur mère, n'est pourtant pas loin, en train de cueillir des herbes médicinales dans les champs alentour : leur père est à Londres pour son travail. Tous deux sont inconscients de cette maladie, de cette ombre qui plane sur leur famille et menace de tout engloutir.Porté par une écriture d'une beauté inouïe, ce nouveau roman de Maggie O'Farrell est la bouleversante histoire d'un frère et d'une soeur unis par un lien indéfectible, celle d'un couple atypique marqué par un deuil impossible. C'est aussi celle d'une maladie " pestilentielle " qui se diffuse sur tout le continent. Mais c'est avant tout une magnifique histoire d'amour et le tendre portrait d'un petit garçon oublié par l'Histoire, qui inspira pourtant à son père, William Shakespeare, sa pièce la plus célèbre.PRESSE :" [Maggie O'Farrell] écrit en palpant la douleur, en l'agrippant des deux mains. Son livre sent fort la puanteur et les larmes des endeuillés pour offrir une lecture d'une puissante densité. " Télérama" Maggie O'Farrell excelle dans cette veine romanesque terriblement incarnée. " Le Figaro" L'art subtil de Maggie O'Farrell consiste à recréer la vie ordinaire tout en y infusant le poids du temps, la pesée du destin. Elle ne cherche pas à mimer la langue ou à reproduire l'atmosphère du XVIe siècle, elle les incarne pour toujours " Le Monde des livres.About the AuthorNée en 1972 en Irlande du Nord, Maggie O'Farrell a grandi au pays de Galles et en Écosse. Depuis le succès de son premier roman, Quand tu es parti, elle se consacre à l'écriture. Maggie O'Farrell a également publié La Maîtresse de mon amant, La Distance entre nous, qui a reçu le prix Somerset Maugham, L'Étrange Disparition d'Esme Lennox, et En cas de forte chaleur qui a connu un immense succès en Angleterre.
L’incolore Tsukuru Tazaki et ses années de pèlerinage
" Depuis le mois de juillet de sa deuxième année d'université jusqu'au mois de janvier de l'année suivante, Tsukuru Tazaki vécut en pensant presque exclusivement à la mort. "À Nagoya, ils étaient cinq amis, inséparables. Puis Tsukuru a gagné Tokyo. Un jour, ils lui ont signifié qu'ils ne voulaient plus jamais le voir. Sans raison. Pendant seize ans, celui qui est devenu architecte a vécu séparé du monde. Avant de rencontrer Sara. Pour vivre cet amour, Tsukuru va entamer son pèlerinage, et confronter le passé pour comprendre ce qui a brisé le cercle.Renouant avec le réalisme onirique de ses débuts, le maître conteur de la trilogie 1Q84 tisse une fable initiatique d'une envoûtante étrangeté, à la mélancolie apaisée." Entrer dans ce livre, c'est comme faire un rêve dont on sait d'avance qu'on se réveillera plus heureux. " ElleTraduit du japonais par Hélène Morita
Le Meurtre du Commandeur – livre 2 (2)
La suite de l'épopée de Murakami qui déstabilise encore un peu plus son lecteur. Une exploration des obsessions humaines au sein d'une histoire onirique et artistique.Au Japon, de nos jours. Une jeune fille a disparu. Le narrateur avait entrepris de faire son portrait. Il va rendre visite au vieux peintre Tomohiko Amada. Dans la chambre d'hôpital, le Commandeur apparaît. Le narrateur écoute le Commandeur : ce dernier est une idée : une idée multiforme, chacun peut y projeter ce dont il a besoin. Il est prêt à offrir sa vie pour que la jeune fille soit retrouvée. Il faut faire revivre la scène du tableau, le Commandeur doit être poignardé. Le narrateur lui plante un couteau dans le coeur. Une trappe s'ouvre dans un coin de la chambre. Un personnage étrange en surgit qui invite à entrer dans le passage souterrain. C'est le début d'un périple qui va le conduire au-devant des forces du mal...
Le Meurtre du Commandeur – livre 1 (1)
Divisé en deux volumes Le meurtre du commandeur promet un voyage initiatique étrange, un conte fantasmagorique et artistique où le lecteur plonge peu à peu dans le fantastique.Au Japon, de nos jours. Une maison en pleine montagne, totalement isolée, livrée à la nature, aux bruits de la pluie et des insectes la nuit. Dans cette maison, des livres et des disques. Beaucoup de disques, d'opéra surtout. Et un narrateur. Il est peintre. Ces dernières années, il a fait beaucoup de portraits, il cherche à retrouver l'inspiration. Cette maison n'est pas la sienne, elle appartient à Tomohiko Amada, un artiste de génie qui a vécu à Vienne avant l'Anschluss et qui, de retour au Japon, s'est mis à peindre des tableaux Nihonga. Il a 92 ans, il est sénile, il vit à l'hôpital. Cette maison, le narrateur y a trouvé refuge après un mois d'errance, quand sa femme lui a annoncé qu'elle voulait divorcer. Dans le grenier de la maison, le narrateur trouve un tableau, soigneusement caché, une peinture d'une grande violence, le meurtre d'un vieillard, une scène comme tirée du Don Giovanni de Mozart mais qui serait située au Japon du 7e siècle. C'est Le Meurtre du Commandeur. Un jour, le vieillard du tableau se manifeste. Il est en taille réduite, mais c'est bien lui, le Commandeur. Que veut-il ? Quel est son message ? Le narrateur retrouvera-t-il la voie de la création ?
La course au mouton sauvage
Le livre qui a révélé Murakami.Sur la page promotionnelle d'une assurance-vie, un jeune publicitaire fraîchement divorcé insère la photo, en apparence banale, d'un troupeau de moutons. Mais l'un des animaux, qui porte sur sa laine une tache en forme d'étoile, suscite l'intérêt d'un homme en noir, proche collaborateur du " Maître ", un homme politique très puissant. Et voilà le jeune homme sommé – lourdes menaces à l'appui – de retrouver ce mystérieux mouton. Ainsi débute son voyage initiatique vers l'île de Hokkaido, avec pour compagne une jeune femme aux oreilles bouleversantes de perfection, un improbable jeu de piste dans un univers qui défie toute logique.Quatrième roman d'Haruki Murakami, La Course au mouton sauvage, au charme envoûtant et à l'écriture tout en finesse, est l'œuvre qui a signé la consécration de l'auteur au Japon et à l'international.Traduit du japonais par Patrick De Vos.
Les filles de la villa aux étoffes (2)
Augsbourg, hiver 1916. La villa aux étoffes est devenu un hôpital militaire et la Première Guerre mondiale s'apprête à bouleverser les vies de la famille Melzer...Augsbourg, hiver 1916.Trois ans se sont écoulés depuis le jour où Marie a frappé pour la première fois à la porte des Melzer. Seulement trois ans... et pourtant tout a changé. Si la jeune femme est à présent l'épouse de Paul et la maîtresse des lieux, l'heure n'est plus à la fête dans la somptueuse demeure transformée en hôpital militaire. Les hommes ont rejoint le front, femmes et domestiques oeuvrent jour et nuit aux côtés des blessés et Marie se consacre à la gestion de l'usine familiale, dont elle découvre avec stupeur la situation critique.Alors que s'éloigne un peu plus chaque jour l'espoir de voir Paul revenir rapidement de cette guerre terrible et que le destin de toute la famille repose sur ses seules épaules, Marie se sent vaciller. Qu'est-ce qui la retient alors d'accepter l'aide du séduisant Ernst von Klippstein, qui n'a jamais dissimulé l'intérêt qu'il lui porte ?Au coeur des tumultes de l'Histoire, une saga familiale au souffle romanesque puissant, digne de Downton Abbey." Un roman historique qui saisit magnifiquement l'esprit de ce début de XXe siècle. "Fränkische Nachrichten
La villa aux étoffes (1)
Un manoir, une famille puissante, un sombre secret...À Augsburg, près de Munich, en 1913, la jeune Marie est embauchée en cuisine à la Villa aux étoffes, la résidence des Melzer, propriétaires d'une imposante usine de textile. Alors que la jeune orpheline tente de tailler sa place parmi les serviteurs, les maîtres anticipent le début de la saison des bals hivernaux qui permettra à la belle Katharina, la cadette de la famille, de briller de tous ses feux en société. Paul, l'héritier principal, se tient loin de ce genre de mondanités, car il préfère de loin sa vie d'étudiant à Munich. Du moins jusqu'à ce qu'il croise Marie... Lorsque la Première Guerre mondiale déchire l'Europe et le reste du monde, la Villa et ses habitants seront aux premières loges du conflit et subiront des bouleversements dont les effets feront trembler toute la maisonnée, l'usine ainsi que ses employés. De quoi l'avenir de Marie et de tous ces gens qui sont devenus sa famille sera-t-il fait ?
Dalva
Pour reprendre le contrôle de sa vie, Dalva s'installe dans le ranch familial du Nebraska et se souvient : l'amour de Duane, les deuils, l'arrachement à ce fils nouveau-né qu'elle cherche obstinément. Meurtrie mais debout, elle découvre l'histoire de sa famille liée à celle du peuple sioux et d'une Amérique violente. Chef-d'œuvre humaniste, Dalva est un hymne à la vie."Le roman des grands espaces : la preuve, par la littérature, que l'on est ce que l'on fait. Une invitation à la sculpture de soi."François Busnel, L'ExpressTraduit de l'anglais (États-Unis)par Brice Matthieussent