Penguin (Cornerstone)
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Bunny
The Vegetarian meets Heathers in this darkly funny, seductively strange novel about a lonely graduate student drawn into a clique of rich girls.'We were just these innocent girls in the night trying to make something beautiful. We nearly died. We very nearly did, didn't we?'Samantha Heather Mackey couldn't be more of an outsider in her small, highly selective MFA program at New England's Warren University. A scholarship student who prefers the company of her dark imagination to that of most people, she is utterly repelled by the rest of her fiction writing cohort – a clique of unbearably twee rich girls who call each other 'Bunny', and are often found entangled in a group hug so tight they become one.But everything changes when Samantha receives an invitation to the Bunnies' fabled 'Smut Salon', and finds herself inexplicably drawn to their front door – ditching her only friend, Ava, in the process. As Samantha plunges deeper and deeper into the sinister yet saccharine world of the Bunnies, the edges of reality begin to blur, and her friendships with Ava and the Bunnies are brought into deadly collision.A spellbinding, down-the-rabbit-hole tale of loneliness and belonging, creativity and agency, and friendship and desire, Bunny is the dazzlingly original second book from the author of 13 Ways of Looking at a Fat Girl.
Exorcist
Father Damien Karras: 'Where is Regan?'Regan MacNeil: 'In here. With us.'The terror begins unobtrusively. Noises in the attic. In the child's room, an odd smell, the displacement of furniture, an icy chill. At first, easy explanations are offered. Then frightening changes begin to appear in eleven-year-old Regan. Medical tests fail to shed any light on her symptoms, but it is as if a different personality has invaded her body.Father Damien Karras, a Jesuit priest, is called in. Is it possible that a demonic presence has possessed the child? Exorcism seems to be the only answer...First published in 1971, The Exorcist became a literary phenomenon and inspired one of the most shocking films ever made. This edition, polished and expanded by the author, includes new dialogue, a new character and a chilling new extended scene, provides an unforgettable reading experience that has lost none of its power to shock and continues to thrill and terrify new readers.
La villa aux étoffes (1)
Un manoir, une famille puissante, un sombre secret...À Augsburg, près de Munich, en 1913, la jeune Marie est embauchée en cuisine à la Villa aux étoffes, la résidence des Melzer, propriétaires d'une imposante usine de textile. Alors que la jeune orpheline tente de tailler sa place parmi les serviteurs, les maîtres anticipent le début de la saison des bals hivernaux qui permettra à la belle Katharina, la cadette de la famille, de briller de tous ses feux en société. Paul, l'héritier principal, se tient loin de ce genre de mondanités, car il préfère de loin sa vie d'étudiant à Munich. Du moins jusqu'à ce qu'il croise Marie... Lorsque la Première Guerre mondiale déchire l'Europe et le reste du monde, la Villa et ses habitants seront aux premières loges du conflit et subiront des bouleversements dont les effets feront trembler toute la maisonnée, l'usine ainsi que ses employés. De quoi l'avenir de Marie et de tous ces gens qui sont devenus sa famille sera-t-il fait ?
La course au mouton sauvage
Le livre qui a révélé Murakami.Sur la page promotionnelle d'une assurance-vie, un jeune publicitaire fraîchement divorcé insère la photo, en apparence banale, d'un troupeau de moutons. Mais l'un des animaux, qui porte sur sa laine une tache en forme d'étoile, suscite l'intérêt d'un homme en noir, proche collaborateur du " Maître ", un homme politique très puissant. Et voilà le jeune homme sommé – lourdes menaces à l'appui – de retrouver ce mystérieux mouton. Ainsi débute son voyage initiatique vers l'île de Hokkaido, avec pour compagne une jeune femme aux oreilles bouleversantes de perfection, un improbable jeu de piste dans un univers qui défie toute logique.Quatrième roman d'Haruki Murakami, La Course au mouton sauvage, au charme envoûtant et à l'écriture tout en finesse, est l'œuvre qui a signé la consécration de l'auteur au Japon et à l'international.Traduit du japonais par Patrick De Vos.
Le Meurtre du Commandeur – livre 2 (2)
La suite de l'épopée de Murakami qui déstabilise encore un peu plus son lecteur. Une exploration des obsessions humaines au sein d'une histoire onirique et artistique.Au Japon, de nos jours. Une jeune fille a disparu. Le narrateur avait entrepris de faire son portrait. Il va rendre visite au vieux peintre Tomohiko Amada. Dans la chambre d'hôpital, le Commandeur apparaît. Le narrateur écoute le Commandeur : ce dernier est une idée : une idée multiforme, chacun peut y projeter ce dont il a besoin. Il est prêt à offrir sa vie pour que la jeune fille soit retrouvée. Il faut faire revivre la scène du tableau, le Commandeur doit être poignardé. Le narrateur lui plante un couteau dans le coeur. Une trappe s'ouvre dans un coin de la chambre. Un personnage étrange en surgit qui invite à entrer dans le passage souterrain. C'est le début d'un périple qui va le conduire au-devant des forces du mal...
L’incolore Tsukuru Tazaki et ses années de pèlerinage
" Depuis le mois de juillet de sa deuxième année d'université jusqu'au mois de janvier de l'année suivante, Tsukuru Tazaki vécut en pensant presque exclusivement à la mort. "À Nagoya, ils étaient cinq amis, inséparables. Puis Tsukuru a gagné Tokyo. Un jour, ils lui ont signifié qu'ils ne voulaient plus jamais le voir. Sans raison. Pendant seize ans, celui qui est devenu architecte a vécu séparé du monde. Avant de rencontrer Sara. Pour vivre cet amour, Tsukuru va entamer son pèlerinage, et confronter le passé pour comprendre ce qui a brisé le cercle.Renouant avec le réalisme onirique de ses débuts, le maître conteur de la trilogie 1Q84 tisse une fable initiatique d'une envoûtante étrangeté, à la mélancolie apaisée." Entrer dans ce livre, c'est comme faire un rêve dont on sait d'avance qu'on se réveillera plus heureux. " ElleTraduit du japonais par Hélène Morita
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