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Tlemcen, cité sanctuaire – Abdelaziz Ferrah
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Catégorie : Beaux livres
Description
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Produits similaires
El-Hachemi Guerouabi – Chahira Guerouabi
2.400,00 د.ج
Le jasmin noircit entre les mains des femmes, dit la légende… Du jasmin, El-Hachemi Guerouabi aimait le parfum subtil, les guirlandes tombant en giboulées des encorbellements de la Casbah. Du jasmin, il avait la délicatesse et la fragilité.
Grand maître du chaâbi, El-Hadj El-Hachemi Guerouabi est né en 1938 et décédé le 17 juillet 2006. Il incarne à jamais l’âme d’Alger et de toute l’Algérie, très tôt conquise par la maîtrise inspirée de son style, son charme indéniable et l’extrême richesse de son répertoire.
D’El-Bahdja, le cœur de la capitale algérienne, il a su transmettre l’authenticité d’une culture séculaire, le raffinement d’une langue arabo-maghrébine éprise de poésie.
El-Hachemi était un artiste inspiré dans tous les sens du terme, fidèle à sa foi comme à son art. D’une sensibilité extrême, l’homme n’est rien sans l’artiste. Il a chanté ce qu’il a vécu et vécu ce qu’il a chanté, si bien que sa vie ne peut se résumer en un récit : elle s’écoute. Au creux d’un istikhbar vient la confidence, dans l’interprétation d’une qaçyda, les joies et souffrances de la vie. De son œuvre, vient enfin l’acceptation du néant : « Ana mali fiyach, je ne suis rien. La Volonté de Dieu. Parce que tu retourneras à Lui… ». El-Hachemi avait commencé à écrire le récit de sa vie. Il n’a pu le terminer, emporté par la maladie. Il tenait beaucoup au titre : Le néant.
Lorsque sa voix s’est éteinte, deux femmes se sont rencontrées : Chahira Guerouabi qui a conté afin de réaliser la volonté du cheikh et Catherine Rossi qui a écrit. Entre leurs mains et celles d’autres femmes pareillement envoûtées par l’homme et sa voix, renaissent les roses de la poésie d’El-Hachemi. Entre leurs mains, jamais plus ne noircira le jasmin, parce que la légende tracée par l’œuvre du maître algérien est éternelle.
Un livre à écouter par sa poésie…
Féminin pictural – Djamila Flici-Guendil
3.000,00 د.ج
Caçacette El Djazaïr, ces conteuses du beau dans la jeune peinture algérienne, dignes héritières de leurs aïeules réputées depuis des siècles pour leurs œuvres d’artisanat traditionnel, que ce soit les tisserandes des Nememchas et des Aït Hichem, célèbres pour leurs tapis de laine aux motifs géométriques ou les potières du Guergour qui alignent leurs cruches de terre sur les sinueux chemins de montagne, dans la lignée de ce lointain ancêtre qui a laissé ses traces sur les parois du Tassili N’Ajjer il y a quelque 10 000 ans ! Nous pouvons dire sans ambages que nos artistes disposent d’un legs culturel riche et ancien qui leur permettra au fil des ans de reprendre le flambeau des mains de leurs mères et de poursuivre le chemin , quelquefois long et semé d’embûches, de la créativité et de la reconnaissance. Elles sont, à l’heure actuelle, de plus en plus nombreuses : plasticiennes, miniaturistes, sculpteurs, photographes, designers, céramistes et vidéastes …
Nos artistes d'Algérie, ces « conteuses du beau », gagneront-elles le pari, ici et ailleurs, de s’affirmer pleinement en tant que peintres, de vivre en revendiquant la liberté de leurs choix et le droit d’assumer un art personnel, porteur de leurs préoccupations légitimes...
Les Phares d’Algérie, Vigies de la côte – Mohamed Balhi
5.000,00 د.ج
Né à Sétif en 1957, Zinedine Zebar a étudié à l’école de photographie de Paris et à l’Université Paris VIII avant de débuter, en 1988, comme reporter photographe à l’Agence de presse parisienne. Il a effectué en cette qualité plusieurs reportages sur la vie sociale et politique en France et a été envoyé spécial dans les pays arabes. Ses photographies ont été publiées dans de grands magazines internationaux. Depuis 2008, tout en continuant de collaborer à plusieurs organes de presse tels VSD, Paris-Match, Le Point, Le Figaro, Le Parisien, El Ahram, Der Spiegel, Times… il se consacre à un travail photographique sur le patrimoine algérien.
Né à Biskra, sociologue de formation, Mohamed Balhi a été journaliste à Algérie-Actualité. Il y a exercé en tant que grand reporter puis directeur de la rédaction. Auteur d’essais et de beaux-livres, il s’intéresse à tous les domaines sans exclusive. Homme du désert et de la mer, il connaît aussi bien Béjaïa et Honaine que Tombouctou et Mexico. Son dernier ouvrage, tout récemment paru, est consacré à une page héroïque de l’histoire de l’Algérie, l’insurrection des Zaatchas.
Imzad – Farida Sellal
Née à Alger, ingénieur en télécommunications, Farida Sellal, a aussi poursuivi des études doctorales en physique du solide. Elle a été consultante et expert internationale, spécialiste en restructuration et mise à niveau des entreprises en Algérie et dans plusieurs pays.
Au ministère des Postes et Télécommunications où elle été directrice de wilaya, elle a lancé la mise en place et la gestion de plusieurs grands systèmes de télécommunications, notamment dans le Grand Sud. De cette époque date sa passion des grands espaces sahariens.
Elle a ensuite enseigné dans plusieurs universités en Algérie et publié plusieurs articles sur l’électronique, la physique des semi-conducteurs dans des revues scientifiques internationales.
Enfin, elle s’est résolument engagée en faveur de la préservation et de la promotion de la culture et des traditions du Sud Algérien. L’association « Sauver l’Imzad » qu’elle a fondée et qu’elle préside depuis plusieurs années participe de cet engagement qui s’est concrétisé par la création d’écoles de formation et l’édification de la Maison de l’Imzad.
Auteure d’un récit autobiographique, Farès, paru dans sa première édition en 1991 et relatant le combat d’une mère pour sauver son fils, elle a aussi publié deux livres-albums photographiques, Silences et Sahara, royaume des silences (Casbah-Editions 2003 et 2011), ainsi que des actes de conférences internationales sur les thèmes : Imzad, de la tradition à la modernité (2005 et 2010) et Poésie des gens du désert (2011).
Issiakhem – Texte de Benamar Médiene – Benamar Médiene
3.300,00 د.ج
M’hamed Issiakhem (1925-1985) est certainement l’un des artistes-peintres qui ont su le mieux saisir l’âme algérienne, en comprendre les solides ancrages et exprimer les plus hautes aspirations. Ses toiles sont riches du génie de son peuple. Sa démarche créatrice, rigoureuse et originale a donné naissance à une oeuvre qui le désigne comme l’un des grands maîtres de la peinture algérienne.
Silences – Farida Sellal
2.650,00 د.ج
Farida Sellal, a commencé sa carrière dans les années 70, en tant que responsable régionale des postes et télécommunications où elle participe grandement à la mise en place du réseau de liaison à travers l’immensité du grand sud algérien rapprochant ainsi les hommes.
à travers cette expérience, elle découvre la féerie des paysages sahariens qu’elle ne cesse depuis lors d’immortaliser sur ses photographies.
Elle a également participé à plusieurs expositions.
Silences est son premier livre album.
Regard sur le théâtre algérien – Ali Hefied
2.000,00 د.ج
Prises sur le vif, en pleine représentation au cours de générales ou d’avant-premières, les photographies qui composent ce magnifique album d’Ali Hefied composent un panorama historique du théâtre algérien, depuis l’indépendance, d’autant plus intéressant que plusieurs des comédiens que l’on voit sur scène dans les rôles les plus divers nous ont quitté. Certains d’entre eux à qui il est rendu ici un hommage ému, sont tombés en martyrs, fauchés par les rafales intégristes.
La qualité des photographies alliée au choix des scènes et des personnages, les textes d’accompagnement signés Kemal Bendimered, un des meilleurs spécialistes algériens du théâtre et Abdelkrim Djilali font de ce livre un document exceptionnel.