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Cri en papier – Youcef Merahi
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Catégorie : Poésie
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Par des langures et des paysages – James Sacré
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James Sacré est né dans une petite ferme vendéenne en 1939. Il y vit son enfance et son adolescence et transporte tout cela aux Etats-Unis de 1965 à 2000. Nombreux séjours à Paris, à Genève, en Italie, en Espagne et au Maroc. Il vit maintenant à Montpellier.
Écrire des poèmes est affaire de rencontres, avec les gens, les choses, des paysages, avec les mots. Affaire de rencontres dans l’étonnement et l’interrogation.
Emiliano, là devant, avec sa ceinture de longues sonnailles mise autour du cou… dans son geste de me la passer autour de la taille, m’accueille-t-il dans une intimité de cette fête de carnaval en Galice, ou s’il me fait savoir que ma maladresse signe mon statut d’étranger ?
Cœur en fragments, suivi de Histoires du vécu – Yassine Foudala
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Il savait le combat à mort
Que le peuple élabore. (Y. F)
« La terre et ses échos ne sont jamais loin dans les poèmes de Yassine.
Au fil des mots, sur la lice, transparaît l’idée du sacré. La terre, la mémoire, le legs, sont des choses sacrées. Les mots aussi. Le sacré n’atteint le divin que lorsqu’il a atteint l’homme dans son enfance, dans son premier lait (...)
Le poète peut dire qu’il est « l’homme patrie » né à son humanité par sa patrie à travers laquelle le sang et le chant ont tissé une âme... C’est cette humanité-là que recherche Yassine, une âme des mémoires multiples héritées, une âme qui refuse l’oubli et l’ingratitude. Il n’est homme qu’à la condition de retrouver et transfigurer ses racines d’homme (...)
Humain jusqu’au bout de ses forces, jusqu’au bout de ses faiblesses, de ses colères et de ses besoins de tendresse, Yassine nous réconcilie avec l’idée de l’humaine destinée de chaque homme engagé dans le destin des autres hommes (...)
Se lever comme poète et dire ses liens avec son peuple, la revendication de ses combats pour la libération trouve son accomplissement dans la revendication du combat des autres peuples (...)
Est-ce que j’ai tort de me souvenir d’un autre poète qui a parlé de marcher en portant son cercueil sur son épaule ? Marcher. »
(M. Bouhamidi).
Dans mon cœur il n’y a plus d’heure – Youcef Merahi
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« La poésie est le lieu des affinités ; c’est à partir de celle-ci que les poètes se regroupent en cénacles et c’est particulièrement vrai en Algérie où la solitude est si cruellement ressentie que la vie serait impossible sans l’amitié compensatoire. Pour les vivants certes mais aussi pour les morts impérissables. Derrière (mais vaut mieux dire au côté de) Youcef Merahi, il y a la toujours rayonnante présence de Hamid Nacer-Khodja, de même que derrière celui-ci, il y avait l’irremplaçable Sénac ou figure du poète assassiné, que les vils assassins n’ont pourtant pas réussi à tuer. Localisé autant qu’on peut l’être à partir de son lieu natal, Tizi-Ouzou, Youcef Merahi est aussi disséminé dans le vaste monde de ses souvenirs ou de ses désirs et de ses rêves, délocalisé vers des lieux où l’heure est chaque fois différente ; c’est pourquoi on peut dire qu’il n’y en a plus. L’immanence poétique n’a que faire des horloges, pour autant le poète n’échappe pas au temps, celui de l’âge qu’il ressent en grandissant au-dedans de lui. » (Denise Brahimi).
L’Ombre portée – Marie étienne
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Après avoir vécu longtemps à l’étranger, Marie Etienne a travaillé avec Antoine Vitez puis Maurice Nadeau. Parmi la trentaine de livres qu’elle a publiés, choisissons quelques titres : Le Livre des recels (Flammarion), L’Inaccessible est toujours bleu (Hermann), Antoine Vitez et la poésie (le Castor astral). Elle a reçu le prix Paul Verlaine de L’Académie française et le prix Mallarmé.
Est-ce Nina qui parle, l’héroïne, dans La Mouette, de Tchekhov ?
Ou son inspiratrice, Lydia Mizinova, qui assiste à Moscou à la naissance d’un art nouveau, avec Stanislavski ? Ou une spectatrice, à qui la représentation et le drame de Nina rappelle sa propre histoire ? Il est sûr que le texte, une sorte de journal, est hanté par Tchekhov, ses yeux clairs, son humour et sa mort annoncée. Et il est sûr aussi que l’auteur du journal parvient à se sauver par le moyen de l’art.
Maintenant, j’enjambe le petit ruisseau – الآن سأقفز الجدول الصغير – Ashur Etwebi
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Ashur Etwebi est poète, traducteur et médecin libyen. Il a publié plusieurs recueils de poésie et a entre autres traduit les œuvres de Jalâl Eddîne al-Rûmî, de Kabîr et des plus grands maîtres de Haïkus japonais.
Si je tendais la main, j’attraperais une comète tombée derrière une montagne
Si je dessinais une ligne droite entre mes lèvres et la bordure du puits, une rivière de vin coulerait
Si je devançais mon pas vers moi-même, j’arriverais avec l’oiseau étrange au seuil de la porte
Si j’emportais à la forêt la mélodie que j’entends chaque nuit, la saison des truffes serait abondante
Si je collais sur le mur de ma chambre les battements de mon cœur, des soleils brilleraient dans la steppe
Si le silence avait un midi, les ombres s’enfuiraient à travers des brèches dans le ciel