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La nouvelle question d’orient – Geordes Corm
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Les traumatismes collectifs en Algérie – Chérifa Bouatta
380,00 د.ج
Les traumatismes dont nous avons essayé de rendre compte ne relèvent pas du registre historico-génétique mais de traumatismes dans la psyché et la culture. Ils ont été collectifs ; ils ont concerné les attaques des liens intersubjectifs qui lient une communauté et qui signent le entre-soi. Ces traumatismes ont ainsi rompu le contrat narcissique qui instaure et organise le vivre ensemble. Il s’agit de violences sociales et systématiques qui avaient des objectifs politiques et symboliques.
Des noms et des lieux – Mostefa Lacheraf
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Mémoires d’une Algérie oubliée (Deuxième édition revue et augmentée)
Ces mémoires du professeur Mostefa Lacheraf restituent l’itinéraire d’un homme à qui un effort constant et soutenu a permis de devenir un intellectuel de premier plan. Davantage encore, ils proposent des repères extrêmement précis sur plus d’un demi-siècle d’histoire de l’Algérie.
Au-delà de l’autobiographie, il y a un témoignage, une analyse et une réflexion sur une société, une histoire, une culture, un enracinement civilisationnel. Cet ouvrage recèle une somme impressionnante d’informations qui en font une contribution majeure à la connaissance de l’Algérie.
Enfers et paradis – Histoire d’une polémique – Lucio Guerrato
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Le 19 décembre 1919, le grand arabisant espagnol don Asin Palacios, lors de son discours de réception à l’Académie royale, choque l’auditoire en affirmant que Dante Alighieri, l’auteur de La Divine Comédie, non seulement se serait inspiré du Mi’radj et de l’Isra, mais aurait transposé dans son poème, le plus grand de la chrétienté, images, épisodes et symboles tirés directement de textes arabes écrits cinq siècles auparavant. C’est un véritable brûlot qui vient d’être lancé. La polémique fait rage et pendant plusieurs années les partisans de l’une et l’autre thèses bataillent sans quartier. Au moment où le débat semble s’éteindre sans vainqueurs ni vaincus, coup de théâtre !, apparaît un nouveau document qui relance l’affaire.
Lucio Guerrato narre les développements de cette controverse qui dure depuis un siècle, transformant un débat entre érudits en une sorte d’enquête judiciaire à rebondissements. Cela lui donne aussi l’occasion d’évoquer des mythes millénaires de l’outre-tombe, le climat culturel de l’époque de Dante, les échanges entre le monde arabe et le monde chrétien. La réponse finale qu’il propose à la question clef de cette affaire, “qui a copié qui ?”, n’est pas sans surprise.
La commune dans le défi du management et de l’ingénierie territoriale – Abdelkader Khellil
350,00 د.ج
L’auteur de cet essai, le professeur Abdelkader Khelil, qui a débuté sa carrière comme enseignant-chercheur en agrobiologie, a acquis par la suite une longue expérience dans les questions de la planification du développement et de l'aménagement durable du territoire, à travers les fonctions supérieures qu’il a occupées en qualité de directeur au ministère de la Planification et de l’Aménagement du Territoire, de délégué à l’aménagement du territoire, de délégué à la relance économique et de délégué au développement local. C’est cette expérience de plus de trois décennies qui est mise au service du développement durable de nos collectivités par cet expert reconnu, ce qui assure au contenu de cet essai sur le management et l'ingénierie territoriale à l’échelle de l’espace communal, une crédibilité certaine.
Abdelkader Khelil considère que la cohésion économique et sociale est un enjeu majeur pour la collectivité locale, qui doit nécessairement s'inscrire en rupture avec la démarche empirique d'un développement sporadique, dont l'impact limité prend la forme d'un désinvestissement. Elle doit inscrire ses actions dans la convergence et la synergie des actions, convenablement ciblées et correctement maturées. C’est pourquoi, l'approche novatrice qu'il suggère donne la primauté à l'audit social, à la prospective, à la solidarité, à la complémentarité territoriale, au partenariat entre les différents acteurs du développement local et à l'émergence de l'action citoyenne. C'est là une manière d'optimiser les potentialités de l'espace ou de l'aire intercommunale de coopération, d'améliorer l'attractivité des territoires dans la perspective de la création de nouvelles richesses, à partir d’un développement équilibré, harmonieux et durable et un cadre de vie propice à l'épanouissement de la population.
L’entreprise et le financement bancaire – Farouk Bouyacoub
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Né le 30/01/1943, Farouk Bouyacoub a été enseignant, avant d’embrasser une carrière bancaire, en 1972. Licencié en sciences politiques et titulaire du diplôme d’études supérieures en banque (délivré par le Conservatoire national des Arts et Métiers de Paris), il a exercé, tour à tour, à la Banque nationale d’Algérie, à la Banque extérieure d’Algérie, à l’Arab Bank for Investment and Foreign Trade (Abu Dhabi), puis à la Banque de l’agriculture et du développement rural, dont il devint le président-directeur général en avril 2000. L’année 1997 a été, pour lui, une année particulière. Détaché de son milieu bancaire, il a eu à mettre en place et promouvoir, en tant que directeur général, l’Agence nationale de soutien à l’emploi des jeunes (ANSEJ), organisme chargé d'aider les jeunes à s'insérer dans la vie active par la création de micro-entreprises.
Spécialiste du crédit bancaire et ex-professeur à la Société inter-bancaire de formation (Sibf), il livre, dans le présent ouvrage, ses connaissances et son expérience en matière de financement d’entreprises.
Les six derniers jours de Bagdad – Mustapha Benfodil
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« Nous sommes à 380 km de Bagdad. Je suis terrifié par la vue d’un bus sauvagement bombardé. Les jeunes qui étaient avec moi ont reconnu sans peine un car syrien qui revenait
de Bagdad quelques jours auparavant. Il roulait de nuit. Des hélicos Apache avaient ouvert le feu sans sommation. Bilan : 7 morts et 13 blessés. Au-dessus du bus, on peut voir un pont complètement détruit. Une femme murmure des prières. Des cratères parsèment la route ; des engins militaires sont abandonnés un peu plus loin, touchés par l’aviation américaine. »
Ainsi se décline le récit de ce livre-journal, carnet de bord de l’envoyé spécial de Liberté à Bagdad. Mustapha Benfodil qui a passé six jours en Irak, a vécu les tout derniers jours du régime de Saddam. Mélangeant sciemment le journal de voyage et le reportage, il nous livre, sur le vif, les moments fous, les moments terribles, qu’étaient ceux de la prise de Bagdad par les marines à l’issue d’une « drôle de guerre ».
L’ONU après la guerre froide – L’impératif de réforme – Abdennour Benantar
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Tout en affirmant son soutien total aux Américains, la France se démarque de la politique américaine par souci d’indépendance mais aussi de prestige à la française. Sa participation est soumise à la définition de la nature des objectifs et de leur dimension. Les ambiguïtés françaises ont terni en quelque sorte son image de marque : ses soldats ont été bloqués en Ouzbékistan alors que la chute définitive des Talibans était imminente.
Tout le monde a semble-t-il réussi à monnayer son soutien à la campagne américaine contre le terrorisme, excepté les États arabes qui ont tenté de faire pression pour que les Américains se penchent sérieusement sur la question palestinienne et proposent une nouvelle initiative de paix mais en vain. Les Américains avaient clairement dit que la guerre en Afghanistan aurait lieu avec ou sans la paix au Moyen-Orient. Et contrairement aux attentes arabes, ils soutiennent (en appui à la politique israélienne) et protègent Ariel Sharon (recours au veto au Conseil de sécurité empêchant toute condamnation des bombardements des territoires palestiniens).
L’Algérie – Une nation en chantier – Soufiane Djilali
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« L’Algérie n’a aucun intérêt à tomber entre les mains d’une nouvelle révolution, quelle qu’elle soit d’ailleurs. Ce serait remettre les compteurs de l’histoire à zéro, faire table rase des bourgeons que la générosité du temps a laissé germer, reconduire les cycles infernaux de la violence et de la contreviolence, illustrer le mythe de Sisyphe.
L’Algérie a besoin d’un peu de temps encore. Le temps que les nouvelles dynamiques en germes s’épanouissent et remplacent les anciens rapports de force qui ont jusque-là prévalu.».