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Les belles histoires de Bahia – Bahia Rachedi
Kawitu – Roman amazigh – Murad Zimu
«Tadukli a Yuyu d tiseddarin. Taseddart tamezwarut drus n medden i tt-yettawḍen. Ahat wid yesɛan zzher, yettak-asen-d Rebbi tameṭṭut tettuɣal d tameddakelt-nsen. Neɣ wid ixedmen lgirra. Ttxemmimeɣ-d akka tikkwal, qqareɣ-as mi ara tiliḍ sdat n lmut ad tt-tettqabaleḍ yal ass, ahat win ara yilin ɣer tama-k imir-nni, ad yuɣal d ameddakel-ik neɣ d gma-k. Wissen ma tegreḍ-as tamawt dɣa i waya : nekkni s teqbaylit neqqar “d ameddakel-iw, d acu, ḥesbeɣ-t am wakken d gma”.
U daɣen mi ara tesɛuḍ gma-k, yeqreb ɣer-k nezzeh, ad as-tiniḍ: “d gma, d acu, ɛedleɣ nekk yid-s, amzun akken d ameddakel-iw”. Twalaḍ !? Tadukli neɣ tagmat ; ɣur-neɣ ur banent ara tlisa. Ihi tella tseddart-agi tamezwarut n tdukli, drus i tt-yessnen...»
Slimane, dit Kawitu, est un homme exceptionnel et son histoire l’est autant. Il vit seul en dehors de la société qu’il continue de fréquenter quand il le faut : pour aider, pour montrer le chemin aux égarés ou parfois pour prodiguer les soins miraculeux que Dame Nature lui a généreusement enseignés.
Les villageois le respectent, les enfants l’aiment. Sa vie, si réservée, fera l’objet d’un film, un film qui sera primé dans un festival international…
Il s’agit d’un récit qui raconte la rencontre de deux personnages, Youcef et Slimane, qui se connaissaient depuis l’enfance. Séparés par les aléas de la vie mais se retrouvent pour quelques jours, histoire de réaliser un film documentaire. Leur aventure cinématographique s’arrête mais une autre aventure, celle de la vie, commence lorsqu’ils font face à la mort.
Devant la mort, ils montrent leurs vraies natures ; sont-ils vraiment des amis ?
Devant la mort, ils montrent leurs vraies natures ; sont-ils vraiment des amis ?
Le rapace – Hamid Grine
Journaliste intègre, intransigeant sur les principes, l’éthique et la déontologie, Cherif est contacté par un grand patron d’entreprise pour être son « Spin doctor » (conseiller en communication politique) en vue d’élections qui s’annoncent particulièrement chaudes. Il accepte.
Grassement rétribué, il doit cependant vite déchanter et subir l’un de ces dilemmes qui ébranlent les certitudes les mieux ancrées. Le grand journaliste inflexible qui place la vérité audessus de tout, ne baisse la tête devant personne a-t-il quelque chance de triompher du communicant dont la principale tâche est désormais de relooker l’image de son patron et mettre à ses pieds les armes de la communication politique qui le mèneront au pouvoir ?
Drame aux Zibans – Abdelaziz Grine
Kaddour est assis au perron de sa porte, sa gandoura est constellée de taches brunes, il tient
toujours son couteau à la main, il se sent léger, débarrassé de tout le poids de la terre, il se sent prêt et ne cherche pas à savoir si ce jour est le jour du diable ou celui de Dieu, il sait que c’est le sien; il ne craint plus rien, il attend.
A la vue des deux hommes armés qui avancent d'un pas rapide dans sa direction, Kaddour, sans se hâter, une main refermée sur son couteau, se lève et, brandissant son arme au-dessus de sa tête, marche vers eux en fermant les yeux.
La rancune – Nadjib Stambouli
Singulière expression de la vengeance d’une femme trahie que celle dont Afifa a usé pour détruire l’homme qu’elle chérissait et qui l’a sacrifiée pour ne pas déplaire à son père. Un faux indice en guise d’énigme - un minuscule fragment de rose des sables collé sur la dépouille de son ami - et voilà l’infidèle lancé sur les
pistes sinueuses qui mènent à la perdition.
Aux portes de Cirta – Mohamed Abdallah
Aux Portes de Cirta est un voyage aux origines de l’Algérie, un pays dont la réalité historique et le passé
antique furent trop souvent méconnus ou négligés.
Au détour de chaque page, on découvre un monde riche en mythes et en exploits, en défis et en émois. On
y rencontre, entre autres, des hommes, des femmes, aux rêves, aux réussites et aux douleurs si proches des nôtres. Derrière ces silhouettes se dessine la figure majestueuse d’un de ces géants qui façonnèrent notre terre, qui, tout en atteignant la gloire, inspirèrent à leur peuple les plus brillants espoirs.
En somme, c’est vers un retour aux sources que ce roman propose de vous emmener, des sources distillant
le plus exquis des nectars aux curieux prêts à franchir les millénaires qui nous en séparent. Portes de Cirta est un voyage aux origines de l’Algérie, un pays dont la réalité historique et le passé antique furent trop souvent méconnus ou négligés. Au détour de chaque page, on découvre un monde riche en mythes et en exploits, en défis et en émois. On y rencontre, entre autres, des hommes, des femmes, aux rêves, aux réussites et aux douleurs si proches des nôtres
Les contes de yemma – Djamila Lounis Belhadj
Naguère pendant nos veillées en famille, la cérémonie du conte était un moment privilégié de divertissement et de convivialité. On attendait avec impatience que s’élève la voix de la conteuse, généralement la grand-mère, et chacun, enfant ou adulte, était suspendu à ses lèvres tandis qu’elle vous transportait dans un univers féérique. « Il était une fois… ».Les récits imaginaires tantôt symboliques, tantôt fantastiques, généralement axés sur les aventures d’un personnage – humain, animal ou même objet – étaient toujours porteurs d’une morale. C’était toujours le bon qui était récompensé et le méchant qui recevait une juste punition. Le recueil que nous propose Djamila Lounis-Belhadj exhale le parfum de ces histoires transmises de bouche à oreille depuis la nuit des
temps.
Une valse – Lynda Chouiten
« Elle ne lui avait pas parlé de son étonnement quand, arrivée chez le médecin, elle avait trouvé six personnes attendant leur tour. Elle pensait que c’était toujours vide, une salle d’attente chez le psychiatre; mais les gens avaient visiblement peur pour leurs têtes où régnait le chaos, à l’image de tout le pays. Elle ne lui avait pas parlé de ces larmes douloureuses qui avaient accompagné le récit de ses hallucinations, de ses peurs, de son épuisement. Du mot « psychose » tombant comme une lourde condamnation, peut-être à perpétuité. »
Extrait de « Une valse »
La robe blanche de Barkahoum – Farida Saffidine
Je m’appelle Barkahoum. Je suis née dans une famille de dix enfants, sept filles et trois garçons et je me suis toujours battue pour me faire une place à la maison, pour me faire une place dans la vie.
Je m’appelle Barkahoum et ma mère m’a donné ce prénom parce que je n’étais pas désirée, parce que je suis née après deux garçons et trois filles.
Ma grand-mère m’appelait Aïcha-radjel. Elle me détestait.
Un jour tu comprendras – Meriem Guemache
Le présent ouvrage relate, sous une forme romancée, les principales étapes du parcours tumultueux, dramatique et chargé d’émotion de Fadhma Aïth Mansour. Il se veut un hommage à la femme et à la mère qui a su, au prix d’un courage et d’une combattivité admirables, faire face aux épreuves et obstacles que la vie ne lui a pas ménagés. Un hommage également à l’écrivaine et poétesse kabyle qu’elle était, dont le message, empli de leçons de sagesse et d’enseignements puisés dans le fonds culturel ancestral mérite d’être sauvegardé.
L’ensorceleuse – Abderrazek Bensalah
Histoire de jalousie féminine, de rivalité masculine, essai sur la résurgence de certaines pratiques sociales encore actuelles et l’érosion des mœurs dont les effets négatifs défraient la chronique, « L’ensorceleuse » est malgré tout un roman d’amour. L'auteur y décrit les mécanismes ténébreux de l'nvoûtement et ses conséquences sataniques aussi minutieusement qu'il relate la liaison tumultueuse de deux jeunes gens condamnés à payer chèrement un bonheur usurpé.
Blessure de la mémoire – Abdelhamid Benhedouga
Je me réveille. Mon rêve a écrit la nouvelle. Et la nouvelle a obtenu le premier prix. Quel bonheur!
je deviens immortel. On m’a érigé une statue de marbre dans le plus grand jardin public de la cité. Quelle joie ! Ma plume l’a emporté sur le fusil du policier. Je deviens immortel. Pleurs de joie. Coulez, flots de larmes. Je deviens immortel, je deviens statue de marbre !
Extrait de « Statue sans tête »