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Le jour où j’ai appris à vivre
Imaginez : vous vous baladez sur les quais de San Francisco un dimanche, quand soudain une bohémienne vous saisit la main pour y lire votre avenir. Amusé, vous vous laissez faire, mais son regard se fige, elle devient livide. Ce qu'elle va finalement vous dire, vous auriez préféré ne pas l'entendre. À partir de là, rien ne sera plus comme avant, et il vous sera impossible de rester sur les rails de la routine habituelle.C'est ce qui va arriver à Jonathan. À la suite de cette rencontre troublante, il va se retrouver embarqué dans une aventure de découverte de soi ponctuée d'expériences qui vont changer radicalement sa vision de sa vie, de la vie...La leçon de bonheur. Pierre Vavasseur Le Parisien / Aujourd'hui en France
La Démoralisation
Cet essai interprète ce qu'il est convenu d'appeler " la crise " sous un angle psychologique et moral. Dans son sens courant, la démoralisation renvoie à une perte de conviction et d'énergie. Mais on peut également la comprendre comme une perte morale. Christian Godin montre qu'il existe un lien entre l'affaiblissement et la disparition de " la morale ", et la démoralisation comme perte de certitude et d'espoir. Historiquement lié à la démocratie et aux droits de l'homme, l'individualisme aboutit à des situations sociales d'une grande cruauté. Les valeurs morales traditionnelles sont des freins et des verrous pour la technoscience mondialisée, dont cet ouvrage montre la foncière immoralité. About the Author Agrégé de philosophie et docteur ès lettres, Christian Godin est maître de conférences de philosophie à l'université Blaise Pascal de Clermont-Ferrand. François Dagognet a soutenu avec ardeur son magistral travail encyclopédique sur le concept de totalité (La Totalité, 6 volumes, Champ Vallon). Outre la dizaine de livres parus chez Champ Vallon, Christian Godin a publié depuis bon nombre d'ouvrages de philosophie pour des publics différents, comme Faut-il réhabiliter l'utopie ? ou Négationnisme et totalitarisme (Pleins Feux), Au bazar du vivant. Dialogue avec Jacques Testart (Seuil), Dictionnaire de philosophie (Fayard/Éditions du temps), La Philosophie pour les Nuls ou encore Vivre ensemble, Éloge de la différence (avec Malek Chebel) (First Éditions) et Le Pain et les miettes (Klincksieck).
Le jour ou les lions mangeront de la salade verte (Best)
Maximilien Vogue, homme d'affaires puissant et charismatique, ne manque pas d'assurance.Il est même l'archétype du lion rugissant au caractère bien trempé, prompt à vouloir tout diriger et contrôler. C'est typiquement pour ce profil d'hommes et de femmes que Romane Gardener, piquante trentenaire, a créé son programme de relooking intégral de mentalité. Réveiller la sensibilité, l'écoute et la bienveillance chez ses clients, amener un peu de douceur et d'humanité dans ce monde de brutes, voilà ce qui l'anime ! Lui, si fier, elle, si passionnée... La rencontre entre Maximilien et Romane ne va pas être de tout repos. Une chose est sûre : elle va avoir du fil à retordre... pour son plus grand bonheur !" Avec ses personnages bien plantés, son énergie et sa romance, ce livre vous rend meilleur et ne se lâche pas. " Version Femina" Ce roman plein d'humour et de bons conseils au quotidien fait un bien fou ! " Maxi
Le Bazar du zèbre à pois
Basile, inventeur au génie décalé, vient d'ouvrir une boutique comme il n'en existe pas : Le Bazar du zèbre à pois. Boutique d'objets provocateurs. Un lieu à vivre et à rêver dans lequel prennent place des créations pleines d'humour et de poésie qui bousculent les habitants de cette petite ville conventionnelle où il a grandi.Un soir, le carillon de la porte d'entrée retentit, et un grand ado, Arthur, apparaît. Il exprime ses colères à ciel ouvert grâce au street art, fâché avec le système qui n'a pas l'air de vouloir lui laisser une place... au grand désespoir de sa mère, Giulia, nez talentueux, désabusée de cantonner son talent à la conception de déodorants.Lorsque vous mettez certaines personnes ensemble, soudain, c'est un feu d'artifice. Entre Basile, Arthur et Giulia, c'est une rencontre-silex.
Cupidon a des ailes en carton
Meredith aime Antoine. Elle voudrait tant être à la hauteur de leur histoire ! Or, comédienne en devenir, elle se sent comme une esquisse d'elle-même. Et vivre leurs sentiments un ton en dessous lui est insupportable. Germe alors l'idée de s'éloigner pour se trouver elle-même et mieux lui revenir.Elle profite de sa tournée avec son amie Rose pour entamer son " Love Tour ", et cheminer sur son amourability : améliorer sa capacité à aimer en transformant son rapport à soi, à l'autre, et au monde. Sur sa route, Meredith croisera de drôles de personnages qui la feront avancer. Ou reculer... Cupidon est facétieux. Mais heureusement, il a plus d'une f lèche dans son carquois !
D’ombre et de silence
" Écrire une nouvelle, c'est tenter, en quelques lignes, de donner vie à un personnage, de faire passer au lecteur autant d'émotions qu'en plusieurs centaines de pages. C'est en cela que la nouvelle est un genre littéraire exigeant, difficile et passionnant. " Karine GiebelSi les romans de Karine Giebel sont parmi les plus lus en France et ont fait le tour du monde, celle-ci excelle depuis quelques années dans un genre tout aussi exigeant : la nouvelle. Voici l'occasion de (re)découvrir le talent de cet auteur, grâce à ce recueil de huit nouvelles noires, humaines, engagées...
Chambres noires
Un recueil de nouvelles engagé, centré sur la très grande précarité à laquelle sont confrontés de plus en plus de gens. Un coup de projecteur sur l'injustice structurelle d'un monde construit par et pour les puissants, et le combat de ceux qui ne sont pas armés ou taillés pour mais luttent quand même.Il y a des soupirs, des souvenirs et des sourires.Il y a ces jours sans fin et ces nuits sans chaleur. Cette sensation d'être sale, d'être rien, moins que rien. Ces dangers qu'on n'a pas vus venir, ces risques qu'on n'a pas osé prendre. Ces tentations auxquelles on n'a pas eu la force de résister.Il y a ces mauvais héritages, ces mauvais choix, mauvaises pentes, mauvais départs.Il y a ce manque de chance.Il y a cette colère, ce dégoût.Il y a...Des fois où on préférerait être mort.Un nouveau recueil de textes noirs, humains, bouleversants et engagés. About the Author Karine Giebel a été deux fois lauréate du prix marseillais du Polar : en 2005 pour son premier roman Terminus Elicius (collection " Rail noir ", puis réédité chez Belfond en 2016) et en 2012 pour Juste une ombre (Fleuve Éditions), également prix Polar francophone à Cognac. Les Morsures de l'ombre (Fleuve Éditions, 2007), son troisième roman, a reçu le prix Intramuros, le prix SNCF du polar et le prix Derrière les murs. Meurtres pour rédemption (Fleuve Éditions, 2010) est considéré comme un chef-d'oeuvre du roman noir. Ses livres sont traduits dans plusieurs pays et, pour certains, en cours d'adaptation audiovisuelle. Chiens de sang (2008), Jusqu'à ce que la mort nous unisse (2009), Purgatoire des innocents (2013) et Satan était un ange (2014) ont paru chez Fleuve Éditions. Tous ces livres sont repris chez Pocket. En 2016, De force a paru chez Belfond (Pocket, 2017), suivi du recueil de nouvelles D'ombre et de silence (2017), de Toutes blessent, la dernière tue (2018), et Ce que tu as fait de moi (2019) chez le même éditeur.
Ce que tu as fait de moi
Le récit à deux voix d'une passion destructrice, malsaine, qui oscille perpétuellement entre l'emprise et l'amour, et qui mènera les amants aux pires extrémités. Avec Karine Giebel, vivez la passion pour le meilleur et pour le pire...Personne n'est assez fort pour la vivre.Personne n'est préparé à l'affronter, même si chacun la désire plus que tout.La passion, la vraie...Extrême. Sans limites. Sans règles.Cette nuit, c'est le patron des Stups, le commandant Richard Ménainville, qui doit répondre de ses actes dans une salle d'interrogatoire. Que s'est-il réellement passé entre lui et son lieutenant Laëtitia Graminsky ? Comment un coup de foudre a-t-il pu déclencher une telle tragédie ?Interrogée au même moment dans la salle voisine, Laëtitia se livre. Elle dira tout de ce qu'elle a vécu avec cet homme. Leurs versions des faits seront-elles identiques ?" Envoûtant, machiavélique et terriblement addictif. " Le Parisien" Plusieurs fois primée pour ses thrillers, Karine Giebel nous montre comment la mécanique intérieure du sentiment peut tout broyer sur son passage. " Marie-ClaireAbout the AuthorKarine Giebel a été deux fois lauréate du prix marseillais du Polar : en 2005 pour son premier roman Terminus Elicius (collection " Rail noir ", puis réédité chez Belfond en 2016) et en 2012 pour Juste une ombre (Fleuve Éditions), également prix Polar francophone à Cognac. Les Morsures de l'ombre (Fleuve Éditions, 2007), son troisième roman, a reçu le prix Intramuros, le prix SNCF du polar et le prix Derrière les murs. Meurtres pour rédemption (Fleuve Éditions, 2010) est considéré comme un chef-d'oeuvre du roman noir. Ses livres sont traduits dans plusieurs pays et, pour certains, en cours d'adaptation audiovisuelle. Chiens de sang (2008), Jusqu'à ce que la mort nous unisse (2009), Purgatoire des innocents (2013) et Satan était un ange (2014) ont paru chez Fleuve Éditions. Tous ces livres sont repris chez Pocket. En 2016, De force a paru chez Belfond (Pocket, 2017), suivi du recueil de nouvelles D'ombre et de silence (2017), de Toutes blessent, la dernière tue (2018), et Ce que tu as fait de moi (2019) chez le même éditeur.
Le Mythe de la virilité
Et si, comme les femmes, les hommes étaient depuis toujours victimes du mythe de la virilité ? De la préhistoire à l'époque contemporaine, une passionnante histoire du féminin et du masculin qui réinterprète de façon originale le thème de la guerre des sexes.Et si, comme les femmes, les hommes étaient depuis toujours victimes du mythe de la virilité ? Pour asseoir sa domination sur le sexe féminin, l'homme a, dès les origines de la civilisation, théorisé la hiérarchie des sexes en faisant de la supériorité mâle le fondement de l'ordre social, religieux et sexuel. Un discours fondateur qui n'a pas seulement postulé l'infériorité essentielle de la femme, mais aussi celle de l'autre homme (l'étranger, le " sous-homme ", le " pédéraste ", " l'impuissant "...). Historiquement, ce mythe de la virilité a ainsi légitimé la minoration de la femme et l'oppression de l'homme par l'homme.Depuis un siècle, ce modèle de la toute-puissance guerrière, politique et sexuelle est en pleine déconstruction, au point que certains esprits nostalgiques déplorent une " crise de la virilité ".Cependant, si la virilité est aujourd'hui un mythe crépusculaire, il ne faut pas s'en alarmer, mais s'en réjouir. Car la réinvention actuelle des masculinités n'est pas seulement un progrès pour la cause des hommes, elle est l'avenir du féminisme." Une thèse aussi originale que saisissante. " Le Monde" Un essai passionnant. " Télérama