«Les filles de la villa aux étoffes (2)» a été ajouté à votre panier. Voir le panier
The Sea
2.300,00 د.ج
When Max Morden returns to the coastal town where he spent a holiday in his youth he is both escaping from a recent loss and confronting a distant trauma. From the Booker-shortlisted author of ‘Shroud’ and ‘The Book of Evidence’.
2
Items sold in last 3 days
Ajouter 5.550,00 د.ج et bénéficier d'une livraison gratuite !
0
People watching this product now!
Estimated delivery dates: mars 13, 2025 – mars 20, 2025
Catégorie : Littérature
Étiquette : en
Description
When Max Morden returns to the coastal town where he spent a holiday in his youth he is both escaping from a recent loss and confronting a distant trauma. From the Booker-shortlisted author of ‘Shroud’ and ‘The Book of Evidence’.
Informations complémentaires
Editeur |
---|
Produits similaires
One Hundred Years of Solitude
3.910,00 د.ج
One of the 20th century's enduring works, One Hundred Years of Solitude is a widely beloved and acclaimed novel known throughout the world, and the ultimate achievement in a Nobel Prize–winning career.The novel tells the story of the rise and fall of the mythical town of Macondo through the history of the Buendía family. It is a rich and brilliant chronicle of life and death, and the tragicomedy of humankind. In the noble, ridiculous, beautiful, and tawdry story of the Buendía family, one sees all of humanity, just as in the history, myths, growth, and decay of Macondo, one sees all of Latin America.Love and lust, war and revolution, riches and poverty, youth and senility -- the variety of life, the endlessness of death, the search for peace and truth -- these universal themes dominate the novel. Whether he is describing an affair of passion or the voracity of capitalism and the corruption of government, Gabriel García Márquez always writes with the simplicity, ease, and purity that are the mark of a master.Alternately reverential and comical, One Hundred Years of Solitude weaves the political, personal, and spiritual to bring a new consciousness to storytelling. Translated into dozens of languages, this stunning work is no less than an accounting of the history of the human race.
Crime d’honneur
1.400,00 د.ج
Jeune immigrée kurde, Esma porte une histoire familiale entachée de sang. Décidée à comprendre, elle retrace sur trois générations le lourd destin qui la lie à ses ancêtres : des rives de l'Euphrate à l'Angleterre, quand l'émancipation et la quête de liberté se heurtent aux traditions, Esma démêle lentement les fils de l'amour et de la haine..." Un magnifique bijou, un livre somptueux. " The TimesTraduit de l'anglais (Turquie) par Dominique Letellier
Les filles de la villa aux étoffes (2)
1.450,00 د.ج
Augsbourg, hiver 1916. La villa aux étoffes est devenu un hôpital militaire et la Première Guerre mondiale s'apprête à bouleverser les vies de la famille Melzer...Augsbourg, hiver 1916.Trois ans se sont écoulés depuis le jour où Marie a frappé pour la première fois à la porte des Melzer. Seulement trois ans... et pourtant tout a changé. Si la jeune femme est à présent l'épouse de Paul et la maîtresse des lieux, l'heure n'est plus à la fête dans la somptueuse demeure transformée en hôpital militaire. Les hommes ont rejoint le front, femmes et domestiques oeuvrent jour et nuit aux côtés des blessés et Marie se consacre à la gestion de l'usine familiale, dont elle découvre avec stupeur la situation critique.Alors que s'éloigne un peu plus chaque jour l'espoir de voir Paul revenir rapidement de cette guerre terrible et que le destin de toute la famille repose sur ses seules épaules, Marie se sent vaciller. Qu'est-ce qui la retient alors d'accepter l'aide du séduisant Ernst von Klippstein, qui n'a jamais dissimulé l'intérêt qu'il lui porte ?Au coeur des tumultes de l'Histoire, une saga familiale au souffle romanesque puissant, digne de Downton Abbey." Un roman historique qui saisit magnifiquement l'esprit de ce début de XXe siècle. "Fränkische Nachrichten
La villa aux étoffes (1)
1.450,00 د.ج
Un manoir, une famille puissante, un sombre secret...À Augsburg, près de Munich, en 1913, la jeune Marie est embauchée en cuisine à la Villa aux étoffes, la résidence des Melzer, propriétaires d'une imposante usine de textile. Alors que la jeune orpheline tente de tailler sa place parmi les serviteurs, les maîtres anticipent le début de la saison des bals hivernaux qui permettra à la belle Katharina, la cadette de la famille, de briller de tous ses feux en société. Paul, l'héritier principal, se tient loin de ce genre de mondanités, car il préfère de loin sa vie d'étudiant à Munich. Du moins jusqu'à ce qu'il croise Marie... Lorsque la Première Guerre mondiale déchire l'Europe et le reste du monde, la Villa et ses habitants seront aux premières loges du conflit et subiront des bouleversements dont les effets feront trembler toute la maisonnée, l'usine ainsi que ses employés. De quoi l'avenir de Marie et de tous ces gens qui sont devenus sa famille sera-t-il fait ?
Staying On
2.300,00 د.ج
Holiday
2.300,00 د.ج
THE BOOKER PRIZE-WINNING NOVEL2019 marks the centenary of Stanley Middleton's birth. Holiday, winner of the 1974 Booker Prize, remains the most celebrated and popular novel from 'the Chekhov of suburbia'.Edwin Fisher has fled to a seaside resort of his childhood past to try to come to terms with the death of his baby son and the collapse of his marriage to Meg. On this strange and lonely holiday, as he seeks to understand what went wrong, Edwin must find somea way to think about what he has been and decide upon where he can go next.______________________________________'At first glance, or even at second, Stanley Middleton's world is easily recognizable... The excellence of art, for Middleton, is an exact vision of real things as they are. And because he is himself so exact an observer, his world at third glance can seem strange and disturbing or newly and brilliantly lit with colour.' A.S. Byatt‘We need Stanley Middleton to remind us what the novel is about. Holiday is vintage Middleton… One has to look at nineteenth-century writing for comparable storytelling.’ Sunday Times