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Tlemcen, cité sanctuaire – Abdelaziz Ferrah
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Catégorie : Beaux livres
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Féminin pictural – Djamila Flici-Guendil
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Caçacette El Djazaïr, ces conteuses du beau dans la jeune peinture algérienne, dignes héritières de leurs aïeules réputées depuis des siècles pour leurs œuvres d’artisanat traditionnel, que ce soit les tisserandes des Nememchas et des Aït Hichem, célèbres pour leurs tapis de laine aux motifs géométriques ou les potières du Guergour qui alignent leurs cruches de terre sur les sinueux chemins de montagne, dans la lignée de ce lointain ancêtre qui a laissé ses traces sur les parois du Tassili N’Ajjer il y a quelque 10 000 ans ! Nous pouvons dire sans ambages que nos artistes disposent d’un legs culturel riche et ancien qui leur permettra au fil des ans de reprendre le flambeau des mains de leurs mères et de poursuivre le chemin , quelquefois long et semé d’embûches, de la créativité et de la reconnaissance. Elles sont, à l’heure actuelle, de plus en plus nombreuses : plasticiennes, miniaturistes, sculpteurs, photographes, designers, céramistes et vidéastes …
Nos artistes d'Algérie, ces « conteuses du beau », gagneront-elles le pari, ici et ailleurs, de s’affirmer pleinement en tant que peintres, de vivre en revendiquant la liberté de leurs choix et le droit d’assumer un art personnel, porteur de leurs préoccupations légitimes...
Nedroma au long cours – Ali Hefied
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Naget Khadda
Professeur de langue et littérature françaises à la retraite, Naget Khadda a enseigné dans les universités d’Alger, Paris VIII et Montpellier.
Spécialiste, en particulier, de l’œuvre de Mohammed Dib, elle a aussi produit des analyses d’autres grands textes de la littérature algérienne de langue française (Féraoun, Mammeri, Kateb, Farès, Tengour, etc.). Elle s’intéresse aussi aux arts plastiques (pour avoir accompagné la réflexion et la création de son mari Mohammed Khadda, un des pionniers de la peinture moderne en Algérie, décédé en 1991) et, plus généralement, au champ culturel qui a donné naissance à des formes d’art nouvelles, amarrées à l’héritage ancestral et marquées au sceau de la modernité d’importation européenne.
Ce livre est, dans son travail, une digression offerte à la mémoire de ses parents, tous deux enfants de l’illustre cité et qui s’en sont allés en gardant chevillée au corps la ville de leurs ancêtres.
Ali Hefied
Né en 1943 à Alger, Ali Hefied a été photographe de presse de 1962 à 1975. L’amitié qui le lie étroitement à Mohammed Khadda et à Abdelkader Alloula a marqué incontestablement sa carrière de photographe indépendant.
À partir de 1967, il a organisé de nombreuses expositions collectives et personnelles.
En 1990 et 1996, il a fait don au Musée national des Beaux-Arts d’Alger de 80 photographies de sa collection personnelle et de 40 photographies de l’œuvre complète du dramaturge Abdelkader Alloula.
Certaines de ses expositions personnelles n’ont pas manqué de susciter l’intérêt au-delà de nos frontières.
Issiakhem – Texte de Benamar Médiene – Benamar Médiene
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M’hamed Issiakhem (1925-1985) est certainement l’un des artistes-peintres qui ont su le mieux saisir l’âme algérienne, en comprendre les solides ancrages et exprimer les plus hautes aspirations. Ses toiles sont riches du génie de son peuple. Sa démarche créatrice, rigoureuse et originale a donné naissance à une oeuvre qui le désigne comme l’un des grands maîtres de la peinture algérienne.
Silences – Farida Sellal
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Farida Sellal, a commencé sa carrière dans les années 70, en tant que responsable régionale des postes et télécommunications où elle participe grandement à la mise en place du réseau de liaison à travers l’immensité du grand sud algérien rapprochant ainsi les hommes.
à travers cette expérience, elle découvre la féerie des paysages sahariens qu’elle ne cesse depuis lors d’immortaliser sur ses photographies.
Elle a également participé à plusieurs expositions.
Silences est son premier livre album.