«Aux sources de novembre – Omar Chalal» a été ajouté à votre panier. Voir le panier
Tlemcen, cité sanctuaire – Abdelaziz Ferrah
3.000,00 د.ج
978-9961-769-74-4
7
Items sold in last 3 days
Félicitation ! vous bénéficiez d'une livraison gratuite !
0
People watching this product now!
Estimated delivery dates: mars 18, 2025 – mars 25, 2025
Catégorie : Beaux livres
Description
978-9961-769-74-4
Informations complémentaires
Editeur |
---|
Produits similaires
Miliana, La mémoire – Lantri Elfoul
2.950,00 د.ج
Un site d’exception qui explique la citadelle qu’elle fut à l’époque romaine, puis, d’une manière ininterrompue, du Xe au XXe siècles, une ville « emmurée ». Ensuite un trésor naturel : l’abondance et la qualité de son eau qui fit surgir autour de ses remparts une couronne de merveilleux jardins jusqu’au milieu du XXe siècle. Et voilà tracé le destin historique de Miliana, qui a été à maintes reprises, pendant un millénaire, par son rôle militaire, politique, économique et culturel, une des capitales régionales importantes de l’Algérie et même parfois une capitale du pays. Pour authentifier ce fait, il suffit de rappeler qu’ont séjourné ou vécu entre ses remparts ou dans ses environs des personnalités remarquables à un titre ou un autre, et connues en Algérie, au Maghreb et même au-delà.
Entre ses murs est enterré Sid Ahmed ben Youcef, qui a fait d’elle depuis le XVIe siècle un des hauts-lieux spirituels du Maghreb.
Dans la première moitié du XXe siècle, malgré la colonisation, Miliana avait réussi à maintenir à peu près intacts non pas ses monuments mais une civilisation, une culture, un art de vivre remarquables venus des tréfonds et de tous les apports de son passé et que l’on peut considérer comme l’aboutissement de son évolution historique et le moment suprême de la « maturation » de son patrimoine, après lequel il ne pouvait y avoir que la mort… ou une transmutation, celle qui a débuté au milieu du XXe siècle.
Du visage-paysage de l’époque exceptionnelle qui a précédé cette mutation, les mots et les images de ce livre se veulent des témoins à la fois émus et précis (autant que cela était encore possible).
Les Phares d’Algérie, Vigies de la côte – Mohamed Balhi
5.000,00 د.ج
Né à Sétif en 1957, Zinedine Zebar a étudié à l’école de photographie de Paris et à l’Université Paris VIII avant de débuter, en 1988, comme reporter photographe à l’Agence de presse parisienne. Il a effectué en cette qualité plusieurs reportages sur la vie sociale et politique en France et a été envoyé spécial dans les pays arabes. Ses photographies ont été publiées dans de grands magazines internationaux. Depuis 2008, tout en continuant de collaborer à plusieurs organes de presse tels VSD, Paris-Match, Le Point, Le Figaro, Le Parisien, El Ahram, Der Spiegel, Times… il se consacre à un travail photographique sur le patrimoine algérien.
Né à Biskra, sociologue de formation, Mohamed Balhi a été journaliste à Algérie-Actualité. Il y a exercé en tant que grand reporter puis directeur de la rédaction. Auteur d’essais et de beaux-livres, il s’intéresse à tous les domaines sans exclusive. Homme du désert et de la mer, il connaît aussi bien Béjaïa et Honaine que Tombouctou et Mexico. Son dernier ouvrage, tout récemment paru, est consacré à une page héroïque de l’histoire de l’Algérie, l’insurrection des Zaatchas.
Imzad – Farida Sellal
Née à Alger, ingénieur en télécommunications, Farida Sellal, a aussi poursuivi des études doctorales en physique du solide. Elle a été consultante et expert internationale, spécialiste en restructuration et mise à niveau des entreprises en Algérie et dans plusieurs pays.
Au ministère des Postes et Télécommunications où elle été directrice de wilaya, elle a lancé la mise en place et la gestion de plusieurs grands systèmes de télécommunications, notamment dans le Grand Sud. De cette époque date sa passion des grands espaces sahariens.
Elle a ensuite enseigné dans plusieurs universités en Algérie et publié plusieurs articles sur l’électronique, la physique des semi-conducteurs dans des revues scientifiques internationales.
Enfin, elle s’est résolument engagée en faveur de la préservation et de la promotion de la culture et des traditions du Sud Algérien. L’association « Sauver l’Imzad » qu’elle a fondée et qu’elle préside depuis plusieurs années participe de cet engagement qui s’est concrétisé par la création d’écoles de formation et l’édification de la Maison de l’Imzad.
Auteure d’un récit autobiographique, Farès, paru dans sa première édition en 1991 et relatant le combat d’une mère pour sauver son fils, elle a aussi publié deux livres-albums photographiques, Silences et Sahara, royaume des silences (Casbah-Editions 2003 et 2011), ainsi que des actes de conférences internationales sur les thèmes : Imzad, de la tradition à la modernité (2005 et 2010) et Poésie des gens du désert (2011).
Issiakhem – Texte de Benamar Médiene – Benamar Médiene
3.300,00 د.ج
M’hamed Issiakhem (1925-1985) est certainement l’un des artistes-peintres qui ont su le mieux saisir l’âme algérienne, en comprendre les solides ancrages et exprimer les plus hautes aspirations. Ses toiles sont riches du génie de son peuple. Sa démarche créatrice, rigoureuse et originale a donné naissance à une oeuvre qui le désigne comme l’un des grands maîtres de la peinture algérienne.
Regard sur le théâtre algérien – Ali Hefied
2.000,00 د.ج
Prises sur le vif, en pleine représentation au cours de générales ou d’avant-premières, les photographies qui composent ce magnifique album d’Ali Hefied composent un panorama historique du théâtre algérien, depuis l’indépendance, d’autant plus intéressant que plusieurs des comédiens que l’on voit sur scène dans les rôles les plus divers nous ont quitté. Certains d’entre eux à qui il est rendu ici un hommage ému, sont tombés en martyrs, fauchés par les rafales intégristes.
La qualité des photographies alliée au choix des scènes et des personnages, les textes d’accompagnement signés Kemal Bendimered, un des meilleurs spécialistes algériens du théâtre et Abdelkrim Djilali font de ce livre un document exceptionnel.